Stéphane Bertrand touche la grande muraille de Chine

Après un col à 2500 m, le mauvais temps ne permet pas à Stéphane de recharger correctement sa batterie: il roule avec seulement 70 W d’assistance pendant 180 km. C’est sous la pluie, avec un ciel gris, qu’il découvre ici des vestiges de la grande muraille de Chine.
Il reste philosophe : « c’est pas grave , je crois que c’est ma meilleure journée car, les amis, je viens de toucher des yeux et de la main un morceau de l’histoire de l’humanité, une des parties les plus anciennes de la grande muraille ! »

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